Kyo fête les 20 ans de Le Chemin avec une tournée exceptionnelle. Après deux décennies de succès et une récente collaboration avec Nuit Incolore, le groupe replonge dans son répertoire emblématique. Attendez-vous à une soirée pleine d’émotions, de souvenirs et de surprises, célébrant un album qui a marqué toute une génération.
Pour clore son histoire, le POCHE /GVE présente « Villa Dolorosa » de Rebekka Kricheldorf, mise en scène par Manon Krüttli. Cette adaptation humoristique et incisive de Tchekhov met en scène Irina, Olga, Macha et Andreï, confrontant leurs aspirations et leurs privilèges dans un quotidien empreint de mélancolie. Les personnages, oscillant entre doutes professionnels et personnels, s’expriment avec une touche d’humour piquant, tout en buvant beaucoup de vodka. Avec les mêmes plaintes et monologues, ils découdront leurs privilèges, peut-être pour la dernière fois.
L’Orchestre de Chambre de Genève, dirigé par Holly Choe, propose un voyage musical unique avec le « Water Concerto » de Tan Dun, utilisant des percussions aquatiques pour recréer les sons de l’océan. La soirée se poursuit avec la « Symphonie n°3 Héroïque » de Beethoven, reflet des bouleversements de la fin du XVIIIe siècle. En prélude, des élèves de l’institut Jaques-Dalcroze se produiront.
Marion Duval nous présente son amie Cécile, une jeune femme pleine de vie, qui raconte son existence avec une spontanéité et une insouciance désarmantes. À travers des anecdotes partagées comme si nous étions en tête-à-tête, Cécile nous parle de ses jobs d’été avec des personnes handicapées, de son engagement écologique, de ses voyages, et même de ses rêves de comédie musicale dans un hôpital psychiatrique. Gaillarde, généreuse et drôle, Cécile incarne un art de vivre débarrassé des contraintes et des barrières, nous emmenant dans une aventure imprévisible, pleine de liberté et d’authenticité.
En français.
Pascal Gravat présente « Celui qui marche devant », un spectacle sensible et incandescent. À travers l’écriture automatique, il explore les traces de son enfance, mêlant anecdotes et fiction. Accompagné d’ombres énigmatiques, il se livre dans une mise en scène empreinte d’impressionnisme et de surréalisme, dévoilant la condition tragique et intense de l’artiste.
En français.
Sous un ciel orageux, la pluie s’intensifie, et Marie-Caroline Hominal, vêtue de jeans scintillants, évolue dans un univers onirique, entourée d’une scénographie dominée par le rose. Les grands panneaux peints par son frère, l’artiste David Hominal, présentent des textures changeantes et des motifs répétitifs, sur lesquels la danseuse projette son ombre, ses récits, ses rêves éveillés et ses doutes. À travers la répétition, le collage et le geste formel, Marie-Caroline travaille le recul et l’autodérision. Ce spectacle marque la troisième collaboration entre la chorégraphe et un artiste, ici son frère, avec pour objectif de mettre en dialogue leurs pratiques respectives, créant une rencontre pleine de complicité entre leurs univers esthétiques.
En français.
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