L’exposition de Myriam Koné explore les strates de l’expérience humaine, en se concentrant sur la maternité et l’identité culturelle. À travers une série d’autoportraits utilisant des matériaux comme le bois, la peau de chèvre et le coton, elle tisse un récit unique. Les œuvres « Enveloppes de peau » et « Couches de vécus » examinent respectivement la complexité de la maternité et de l’identité, célébrant la beauté des cicatrices et des souvenirs.